Proposer des « graino-thèques » en bibliothèque, maison de quartier, écoles qui dispose d’un jardin pour favoriser le partage des semences libres et que le citoyen se réapproprie les semences. Ce projet peut être étendu à tous les lieux associatifs et aux lieux alternatifs ouvert au public de la ville : exemple à hop hop hop ou le café des pratiques. Pour être autonome, planter des semences non hybrides, favoriser l’implantation de semences paysannes ou de variété ancienne
Intérêt financiers : gagner en autonomie ! Ce n’est pas sans intérêts financiers puisque, ne pouvant plus reproduire ses semences, techniquement par la généralisation des semences hybrides, ou légalement par brevet ou interdiction, l’agriculteur, comme le jardinier doit recourir chaque année à l’achat des graines, quel qu’en soit le prix. En lien avec le permis de végétaliser aux espaces verts de la ville. L’idée est aussi d’utiliser des variétés adaptées au climat local : Franche comté
Une richesse de pouvoir disposer localement d'un stock de semences dans le cas d'un effondrement des systèmes de production et de distribution de la filière agro-alimentaire.
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