Nous sommes et nous serons de plus en plus amenés à coexister avec la faune sauvage, qui s'introduit au cœur de la cité en raison des bouleversements liés à l'urbanisation. Il faut dès maintenant réfléchir à organiser cette cohabitation. A Besançon, nous avons par exemple le ragondin Bouloute (abattu en 2017) et plus récemment le sort des sangliers du Square Castan (voués à l’euthanasie), dont on a scellé le sort sans concertation citoyenne, en les qualifiant simplement de nuisibles.
Une coexistence avec la faune sauvage est possible. Que Besançon devienne un exemple de gestion de la faune sauvage, en impliquant les citoyens dans le processus de respect et de préservation de la vie animale.
This content is created by the open source Your Priorities citizen engagement platform designed by the non profit Citizens Foundation